22 août 2007

Japan Expo : flashback


Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager ce strip de Boulet sur Japan Expo. C'est très rigolo et tellement vrai... Remarque j'y étais pas cette année, à la Japan Expo mais bon... Lisez-le et vous me direz ce que vous en pensez !

Le lien

18 août 2007

Anime : Romeo X Juliet

Fans de Shoujou bonjour ! J'ai découvert cet anime récemment, un peu forcé par ma copine, il faut bien l'avouer, et malgré ma préférence pour les histoires d'aventures, j'avoue que j'accroche plutôt bien à cet animé dégoulinant à souhait de sentiments et d'amuuuuuuurrr...

Attention, si vous êtes fans de Shakespeare, dont cet anime a l'audace de dire en tirer l'inspiration, vous risquez fort de mourir d'une crise cardiaque au vu du lynchage éhonté de l'histoire originale. Et une deuxième fois lorsque vous découvrirez que ce dernier se voit représenté par un personnage dans l'anime, un auteur de pièces de théâtre, largement efféminé... hum hum... Ça me rappelle les animes "Monte-Christo", ou encore "Les misérables" ha ha ha

L'histoire commence par l'extermination complète de la famille de Juliette (les Capulet) par les Montaigus (ou Montague), à l'exception de Juliette bien sûr et de sa fameuse nourrice (juste un peu plus vieille qu'elle, c'est plus facile pour les confidences). 14 ans plus tard, revoilà Juliette qui se fait passer pour un garçon (Lady Oscar Power!) et devient une justicière masquée dans la ville de Neo-Vérone... Hmm...

Roméo, de son côté, s'ennuie un peu sur son cheval volant, mais son Papa le grand méchant qui est maintenant le maître de la ville, l'a promis à Hermione (Où est Rosaline?). Et comme les Capulet ne sont plus là pour organiser le bal auquel Romeo et Juliette se rencontrent, et bien c'est les Montaigus qui l'organisent. Ils tombent bien entendu amoureux, avec un belle musique et des pétales qui tombent à la japonaise...

On retrouve quelques persos secondaires : Benvolio, Mercutio, mais je ne sais pas encore si les personnages sont aussi malmenés que les deux héros.

Bon, je n'ai vu que deux épisodes pour le moment, mais je sens que la déviation par rapport à l'histoire originale ne peut que s'aggraver. Mais le truc qui rattrape tout, c'est qu'il est de très bonne qualité. On pouvait s'en douter quand on sait que le studio Gonzo est derrière cet animé. Le dessin et l'animation sont vraiment bons, la musique est sublime (l'opening est magnifique), et la réalisation est à la hauteur.

Bien sûr il faut prendre l'histoire au premier degré et détourner les yeux quand l'inscription "Inspiré de l'oeuvre de William Shakespeare" apparaît à l'écran, mais c'est un vrai plaisir de visionner un anime de cette qualité. Les couleurs sont vives, les décors très travaillés, il y a beaucoup d'effets, le doublage est réussi et très sensible. Il se pourrait qu'il arrache un petit oeil mouillé aux aficionados endurcis que vous êtes (enfin peut-être)...Les "auteurs" vont-ils conserver la fin tragique ? Rien n'est moins sûr. Et tous les morts des deux côtés ? Ça reste à voir... Bref, rien que pour la curiosité intellectuelle, je vais regarder la suite. Tous ceux qui ne connaissent pas la pièce originale, ou qui ne sont pas trop psychorigides sur la fidélité à l'oeuvre, je vous conseille de regarder, c'est vraiment agréable.

17 août 2007

La cravate du Geek de l'été!

Pour les Geeks actifs en costume-cravate, le cochon vert de AkihabaraNews a trouvé le produit ultime pour un été chaud au bureau. En effet quoi de plus désagréable que de devoir travailler devant son ordinateur, avec un cravate qui sert le cou et vous fait transpirer ?

Heureusement, grâce à la cravate USB avec ventilation intégrée au niveau du col, plus de problème ! En plus, avec un câble de 140 cm, vous pourrez travailler confortablement. Bon, par contre, faudra pas oublier de le débrancher pour aller aux toilettes ou au café hein ….

Source : AkihabaraNews

16 août 2007

Drama : Kekkon Dekinai Otoko

Et encore un nouveau drama, encore une fois avec un de mes acteurs fétiche, Abe Hiroshi, qui joue aussi le professeur dans Dragon Zakura. 'Kekkon Dekinai Otoko' signifie grossièrement 'l'homme incapable de se marier'.


C'est donc l'histoire d'un homme proche de la quarantaine, Shinsuke KUWANO, architecte très doué, vivant seul et aimant cela. Chaque journée est bien réglée: le travail, les courses, la location de dvd, puis après un repas copieux, un bon CD de classique qu'il écoute dans son fauteuil.

Solitaire, irracible, maniaque de la propreté, il semble être voué à demeurer célibataire toute sa vie, malgré les efforts de sa mère pour lui trouver une épouse. Pourtant de nombreuses jeunes femmes à la recherche de l'amour gravitent autour de lui : sa voisine, Michiru (KUNINAKA Ryoko), jeune femme super mignonne (à ajouter aux *tousse* babes), sa médecin Natsumi (NATSUKAWA Yui) plus de son âge, et sa collègue de travail Maya (TAKASHIMA Reiko).

L'intrigue est ultra-convenue, et assez linéaire. Les amourettes manquent de sentiments, et les réparties de KUWANO, aussi cinglantes qu'elles soient, finissent par lasser. Il ne se passe pas grand chose, mais les excentricités de Kuwano peuvent nous arracher quelques éclats de rire, tout comme la fraicheur de Michiru nous empêche de sombrer trop souvent dans l'ennui. Quelques autres détails rigolos : le chien adorable de Michiru, et aussi tout de même le personnage de KANEDA, le rival qui "ne travaille jamais et dépense tout l'argent de ses parents", qui ne sert absolument à rien du tout, mais permet de bien rigoler de temps en temps. Un "bon drama des familles", en attendant mieux.

13 août 2007

Le t-shirt de l'otaku célibataire

Je me souviens d'un ami otaku qui voulait absolument une copine japonaise. Une compagne française était pour lui insignifiante. Si c'est aussi le cas pour vous, j'ai trouvé ce t-shirt qui devrait combler vos attentes! Dessus il est écrit en gros "Je cherche une copine japonaise". Quoi de plus à propos lors de vos ballades dans Tokyo! Je ne suis pas sûr que ça marche à Akiba, mais bon bordel essayez un autre quartier pour une fois...

Pour voir le t-shirt c'est sur ce lien.

02 août 2007

Satorare

Imaginez que tout le monde dans un rayon de 12 mètres autour de vous puisse entendre toutes vos pensées... ça fait froid dans le dos n'est-ce pas? Enfin, pour un Homme j'imagine que ça doit faire froid dans le dos, avec toutes les pensées qu'on ... enfin bref, cette horreur de malédiction est justement le symptôme des "satorare" (transparent). Ces personnes au QI toujours énorme ne peuvent cacher toutes leurs pensées.

Le gouvernement japonais a même créé un comité chargé de leur protection, en particulier le fait qu'ils ne doivent pas se rendre compte que chacun entend leurs pensées, car le choc pourrait les conduire au suicide, ce qui serait une perte considérable pour le pays.

Voilà en gros le principe de ce drama, et nous suivons donc la vie de Kenichi Satomi (Odagiri Joe), jeune médecin au coeur pur. A l'hôpital où il travaille, la plupart des employés n'en peuvent plus de sa condition de satorare. Le fait qu'ils doivent faire attention à ne pas réagir aux pensées du jeune docteur, sous peine de prison (!) les mets sans arrêt sous pression. De ce fait, la plupart cherchent à le pousser à la démission.

Voilà pour l'histoire. Attention, ce drama se veut surtout humoristique, et ce n'est pas une histoire d' "ijime"... Même si on n'échappe pas aux scènes larmoyantes, surtout vers la fin bien entendu. Le jeu des acteurs est correct sans être transcendant, et on arrive surtout à regarder grâce à l'humour des situations. Odagiri Joe, qui a joué dans "Shinobi" pour les otakus dans la salle, surjoue beaucoup mais c'est un peu normal vu que la plupart du temps on est censé écouter ses pensées et que donc il n'ouvre pas la bouche...

Pour le reste, rien n'est bien crédible dans cet hôpital ou personne ne semble jamais travailer : les médecins sont en salle de repos en permanence, et les infirmières à l'accueil. Quand à l'héroïne féminine, elle est un peu fade... malheureusement.

Satorare reste tout de même un divertissement plaisant, avec un contexte original, et seulement 10 épisodes, ce qui ne laisse pas trop le temps de se lasser.